« Yves-Marie Le Guilvinec, disparu en mer à 30 ans est un fantôme pour la littérature et la chanson : il n’existe pas. C’est dans un vide-grenier à Saint-Lunaire (Ille et Vilaine) que François Morel, feuilletant de vieilles revues rongées par les embruns, découvrit une brochure dans laquelle douze de ses chansons étaient reproduites, illustrées par l’auteur. François Morel acheta la revue et fit le serment d’arracher Yves-Marie Le Guilvinec à l’oubli océanique où il était tombé. Avec l’aide de Gérard Mordillat et d’Antoine Sahler, il entreprit de restaurer ces textes, de les remettre en musique et surtout de les faire entendre à nouveau. Le Guilvinec retrouverait ainsi un corps, une voix, une vie… » Gérard MordillatFrançois Morel et son équipage auraient dû créer ce spectacle à La Manekine en avril 2020. Heureusement, les vents semblent redevenus favorables et nous aurons le privilège de les voir à nouveau accoster (ceci est une métaphore filée).
